What belongs to us/Ce qui nous appartient
new contemporary dance performance / nouveau spectacle de danse contemporaine
work in progress / travail en cours
SUZANNE MILLER & ALLAN PAIVIO PRODUCTIONS
La compagnie
La chorégraphe Suzanne Miller et le compositeur Allan Paivio sont les directeurs artistiques de cette compagnie consacrée à l’art de la collaboration. Les deux artistes se servent de la performance pour en remettre en question la représentation et la médiation. L’immédiat et la transformation sont au cœur de leur travail. Utilisant le corps comme point de départ, ils appréhendent le vécu corporel en cherchant à établir des ponts entre le personnel et le discours culturel. Par ailleurs, commémorant les ancêtres, ils invoquent une filiation artistique immémoriale, tentant ainsi de créer des allégories qui réveillent et ravivent la conscience sociale.
Suzanne Miller
chorégraphe - interprète - professeure- collaboratrice
« En tant que chorégraphe, Suzanne Miller puise sa matière dans l’abondance des ressources reliées à la danse, élaborant ainsi des langages propres à chaque projet. Son approche conceptuelle de la danse a produit un répertoire varié, où chaque œuvre est unique. Son travail se concentre sur l’immédiat du mouvement, et l’excédent symbolique de l’interprétation. Des galeries, vitrines de magasins, bâtiments abandonnés, toits, boîtes de nuit, et gares de train ont été témoins de ses œuvres. Des endroits comme un appartement, une cave, une cathédrale, un temple, un château ont également été des lieux de rendez-vous. »
Allan N Paivio
compositeur- musicien - professeur- collaborateur
« En tant que musicien et compositeur, j’ai élaboré une méthode qui explore en direct les processus musicaux et électroacoustiques. En conservant une exécution traditionnelle et d’improvisation venant de mes études en violon, en rythme et en techniques vocales approfondies, je peux physiquement unir mon corps et mon esprit afin de communiquer pleinement avec la danse. D’un autre côté, les processus électroacoustiques permettent d’atteindre un niveau de contemplation, une distance où l’objet d’où origine le son peut être méticuleusement façonné et identifié comme un signe culturel. En travaillant, j’amalgame souvent ces deux mondes sonores préalablement créés. »